Atelier d’écriture Inspiration.

Aidez-vous en regardant un image, une vidéo, un mot…

Ecrivez ce que cela vous inspire, en un texte court. ou un poème.

Le mot  » Miroir »

Cette image .

 

Cette vidéo.   regarder ici

L’odeur du citron.

Ce que cela m’a inspiré un jour.

Tous mes textes sur ce site ne sont pas « libre de droit »

Mes textes sont écrits en un seul jet et non modifiés par la suite.

Miroir:
Miroir de l’eau qui coule
Miroir de l’âme qui courre
Miroir de toi dans mon regard
Miroir de nous dans nos amours
Miroir du soleil dans nos cœurs
Miroir du bout du tunnel de nos valeurs
Miroirs de mes actions en gare
Miroir, le nôtre pour toujours
Miroir qui est le plus laid ?
Miroir tu ne nous regarde jamais.

 

Cher cousin,
Je t’écris pour te demander pardon.
Auparavant tu étais le seul à connaître les joies de l’évolution. Tu as voulu faire partager ton savoir. Tu as surmonté les défis, les étapes. Tu as gravi des montagnes.
Pour cela tu as du te relever. Marcher debout pour imposer ta force.
Tu as du faire confiance, faire des sacrifices, faire des connaissances. Chaque fois tu as su avancer. ta famille est soudée, tes enfants sont respectueux et surtout fidèles à ton mode de vie.
Tu as fait de nous des hommes. Mais nous Hommes des prairies, o, a voulu avancer seules.
Sans se soucier de ta vie.

Musique :

Sous le regard inquisiteur et critique de ses parents, l’enfant âgé de deux ans, va connaître les joies de la marche.
Seul avec son doudou en main, il se lève.
Regarde autour de lui, ne voit rien de stable.
Il lance son regard de « tueur des bacs à sable », pour demander la main de son père , l’aide de sa mère.
Rien n’y fait, personne ne bouge.
Sa mère lui lance son sourire tendre et complaisant, lui envoie toutes ses forces par son regard.
Le père ne bronche pas. Rien ne figure sur lui. Pas un signe de complaisance.
Juste cette phrase : « Lève-toi et marche. »
Qui n’a jamais entendu cette phrase et ne s’est jamais levé ni n’a jamais marché ?
Mais BeauGosse relève le défi, et marche.
Il marche directement dans les jambes de sa mère.
Regarde son père en lui envoyant son message de guerrier. Maman oui, Papa on verra.

L’odeur du citron :

Pour cette fois j’accepte de rentrer dans cette maudite pièce.
Tout n’est que passé désolation. L’odeur qui s’en dégage, me fait de suite penser à un parfum connu que je n’aime pas. Mais lequel ?
Mes sens sont en éveille.
Le goût, teste l’air de sa puissance.
L’odorat, cherche toujours à mettre un nom.
L’ouïe, recherche un son, un signe.
Le toucher, palpe le vide pour s’identifier.
Le tout remis dans le bon ordre.
Le tout remis dans son contexte. Voilà maintenant je sais que je n’aime toujours le parfum de ce désodorisant au citron vert.

Vous avez aimé cette page ? Alors partagez-le avec vos amis.