Ma page blanche
Je prends mon stylo et je laisse les mots couler,
Je les laisse m’emporter, me guider, me porter,
Je les laisse s’entrelacer, se combiner,
Et j’ouvre les yeux sur un texte achevé.
Je prends mon stylo et je laisse les mots couler,
Je les laisse m’emporter, me guider, me porter,
Je les laisse s’entrelacer, se combiner,
Et j’ouvre les yeux sur un texte achevé.
Les voix étouffées, les droits bafoués,
Le pouvoir sourd aux revendications,
Les mains tendues, les espoirs brisés,
Le pouvoir aveugle, sans compassion.
Ignorance d’État, un fardeau lourd à porter,
Une lutte incessante pour éclairer, informer,
Contre les ténèbres de l’ignorance et de la censure,
Le combat pour la vérité est notre seule mesure.