Lutter contre le mutisme du pouvoir


Le pouvoir muet, sourd et aveugle,

S’enferme dans un silence qui engloutit,

Les cris du peuple, les appels à l’aide,

Tout est étouffé, tout est réduit.

 

Les décisions se prennent en huis clos,

Les paroles sont soigneusement choisies,

Les vérités sont cachées, les mensonges déployés,

Le pouvoir mute, les peuples sont meurtris.

 

Les voix étouffées, les droits bafoués,

Le pouvoir sourd aux revendications,

Les mains tendues, les espoirs brisés,

Le pouvoir aveugle, sans compassion.

 

Il se coupe du peuple, s’enferme dans sa tour,

Les voix du peuple sont étouffées, muselées,

Les injustices persistent, les souffrances s’accumulent,

Le pouvoir muet, une réalité dévoilée.

 

Mais le peuple n’est pas résigné,

Il se lève, se rassemble pour crier,

Contre le mutisme du pouvoir, il se bat,

Pour que justice et vérité puissent régner.

 

Les voix s’unissent, les mots se font entendre,

Les cris retentissent, les espoirs se rallument,

Le pouvoir ne peut rester sourd à cette clameur,

Le mutisme du pouvoir, un jour s’effondre.

 

Car la vérité est plus forte que le silence,

La voix du peuple est puissante, inextinguible,

Le pouvoir ne peut ignorer cette force,

Le mutisme du pouvoir, un jour, sera vaincu.

 

Alors, continuons à lutter, à crier,

Contre le mutisme du pouvoir qui opprime le peuple.

Ecrivain77 / Christophe R





Lutter contre l’ignorance de l’état


Ignorance d’État, un fardeau lourd à porter,

Une lutte incessante pour éclairer, informer,

Contre les ténèbres de l’ignorance et de la censure,

Le combat pour la vérité est notre seule mesure.

 

Les puissants, les élites, avec leur pouvoir,

Tentent de maintenir le peuple dans le noir,

En cachant les vérités, en manipulant les faits,

Mais notre soif de connaissance ne se tait.

 

Les menteurs, les manipulateurs, les oppresseurs,

Essayent d’étouffer la vérité avec leur ferveur,

Mais nous, les chercheurs de vérité, restons forts,

Prêts à braver tous les sorts.

 

Avec la plume comme notre arme,

Nous luttons contre l’ignorance avec charme,

Écrivant, partageant, diffusant la lumière,

Éclairant les esprits avec la vérité pour bannir la misère.

 

Chaque jour, chaque instant, nous restons vigilants,

Dénonçant les mensonges, les abus flagrants,

Éveillant les consciences, éduquant les esprits,

Car la vérité est le pilier de toute société qui réussit.

 

Nous sommes les gardiens de la connaissance,

Fiers de défendre la vérité avec persévérance,

Luttant contre l’ignorance d’État, sans relâche,

Pour un avenir meilleur, où la vérité est sans tache.

 

Alors continuons la lutte, inlassablement,

Contre l’ignorance d’État, obstinément,

Avec la connaissance comme notre bannière,

Nous resterons toujours debout, sans jamais se taire. 

Ecrivain77  / Christophe R





Lo Patriarca

Il est là présent, ne payant pas de mine

Il est des hommes qui ont un visage franc , un regard sincère

On dit d’eux qu’ils ont une gueule

Cet homme est un berger des temps modernes

Qui guide sa famille avec des gestes sûrs et des paroles tendres

 

Il connaît les routes, les détours et les embûches,

Il sait où aller et comment faire face aux défis qui surgissent,

Il veille sur sa famille avec un cœur de marin,

Et navigue sur les vagues de la vie avec une détermination sans fin.

 

Il veille sur les siens avec passion et sagesse.

Vous avez l’honneur d’être invité en sa demeure ?

Ressentez cette douceur qui flotte en duo d’une présence chaleureuse.

l’accueil est franc, ordonné, maintenu, respecté par la maîtresse de maison.

 

Sa femme dites-vous?

C’est son mat d’artimon.

Je ne suis pas homme à le défier.

C’est sa moitié, prenez garde à sa foudre.

 

Cet homme, c’est un berger et un marin,

Il regarde les étoiles pour trouver sa route,

Les vents pour savoir où aller sans déroute,

Il sait comment éviter les tempêtes et les naufrages,

Et guide sa famille à travers toutes les phases.

 

Sait comment guider les siens dans la vie sans chagrin,

Il montre le chemin, encourage à persévérer,

Donne force et courage pour surmonter les difficultés.

Il aime sa famille plus que tout.

 

Travaille dur pour qu’elle soit heureuse et épanouie en tout,

Comme un berger veille sur son troupeau,

Un marin naviguant vers l’inconnu, pour trouver un nouveau berceau.

Si vous le rencontrez, vous ne pourrez que le respecter.

 

A moins que votre cœur, votre âme ne soient fermés.

Vous aurez à faire à moi et à toute sa lignée.

N’oubliez pas et soyez en certain.

Il s’appelle Lucien.

Ecrivain77  / Christophe R




Une ode à la force intérieure.


Dans l’obscurité de la nuit,

Sous le ciel étoilé,

Je contemple la lune,

Et je pense à ceux qui ont des difficultés.

 

Ils marchent avec un pas lent,

Mais leur courage est immense,

Ils surmontent des défis chaque jour,

Sans jamais perdre l’espérance.

 

Ils sont souvent ignorés,

Ou pire encore, mal compris,

Mais leur cœur est rempli d’amour,

Et leur esprit est libre.

 

Ils voient le monde avec des yeux différents,

Et trouvent la beauté dans des endroits inattendus,

Ils sont la preuve vivante,

Que l’handicap n’est pas une fin en soi.

 

L’handicap n’est pas un signe de faiblesse,

C’est un badge d’honneur pour ceux qui luttent,

Une marque de courage, de résilience,

Et de persévérance dans des moments difficiles.

 

Ils nous apprennent à être forts,

Et à ne jamais abandonner,

Et nous montrent que la vraie force,

Vient de l’intérieur de nous-mêmes.

 

Alors que je regarde la lune,

Je suis reconnaissant pour ceux qui nous inspirent,

Et je suis fier de faire partie,

D’une communauté qui célèbre la diversité et l’inclusion.

Ecrivain77  / Christophe R





Ma MUSE

C’est maintenant que tu viens m’envahir,

Telle une vague qui se brise sur le rivage,

Je suis submergé par tes émotions intenses,

Et je me sens emporté dans ton sillage.

 

Ton amour m’envahit, tel un feu qui brûle en moi,

Je ressens ta présence, ta chaleur, ta douceur,

Et je me laisse porter, comme un bateau sur l’eau,

Vers des horizons inconnus, où tout est pur et bonheur.

 

Tu m’envahis de ta passion, de ta fougue,

Et je me sens vivant comme jamais auparavant,

Je suis rempli de ta force, de ta joie, de ta lumière,

Et je découvre en toi un amour éternel et constant.

 

C’est maintenant que tu viens m’envahir,

Et je sais que rien ne sera plus jamais pareil,

Car tu as changé ma vie, tu as chassé mes peurs,

Et tu m’as donné la force de croire en un avenir merveilleux.

 

Je suis à toi, corps et âme, je te livre mon cœur,

Et je te promets d’être toujours là, fidèle et sincère,

Car tu es mon amour, ma passion, mon tout,

Et c’est maintenant que tu viens m’envahir, pour l’éternité.

 

Ecrivain77  / Christophe R




Insomnie


Soudainement mes yeux s’ouvrent, je ne sais pourquoi, me voilà réveillé.

L’esprit encore tout embrumé, les yeux floutés, je scrute l’horloge.

Il est quatre heures du matin, le soleil dort, le chat n’est plus couché. 

Je me tourne, me retourne, pivote, virevolte, recherchant une

position très douillette. Plus je tournille, moins je ne peux m’apaiser. 

La respiration, tout vient de la respiration, de la contrôler. 

Facile à dire, moins évident, tous mes sens sont en éveil.

Me concentrer malgré le larsen du silence dans mes oreilles.

J’ouvre grand mes oreilles, j’ouvre en grand mes yeux, j’ouvre en grand mes sens.

Je cherche mon chat Hugo, il doit être là, il ne fait que de dormir.

Ne le trouvant pas, j’allume ma lampe de chevet, avec réticence.

La lumière jaillissant, c’est officiel je ne pourrai me rendormir.

Je prends mon carnet de note toujours à portée de main, pour crayonner

mes inspirations furtives. Laissant mon crayon sans contrôle glisser.

Je suis là, comme dans une forêt, où tout est lumière de clarté.

Je fume sans raison, si ce n’est de faire partir l’ennui en fumée.

Trop souvent, tu viens avant l’heure annuler mes rêves subitement.

Tu nous fais fuir, tu nous chasses, le chat et moi de notre lit si douillet. 

Sans raison d’être si matinier, errant seul dans mon appartement.

Une tasse de café à la main, je vais me choir sur le canapé.

Tout ce temps perdu après ta venue, ne pouvant commencer ma journée.

N’as-tu personne d’autre plus jeune, à qui infliger ta présence ?

Je vis tes jours au ralenti, je perds mon calme, tu hantes mes pensées. 

Ne reviens pas ! Tu me prives de sommeil, je dois reprendre des forces.

Dormir, dormir, même quand tu ne viens pas, je ne peux mieux me ressourcer.

Lorsque je me réveille, je me sens comme devant la page blanche.

Je ne veux en souffrir. Je ne sais pourquoi il me faut rester éveillé.

Je ne me sens pas seul, autour de moi se fait ressentir ta présence. 

La nuit je ressens les communions, de toutes les ondes créatrices.

Je ne dormirai plus sur le canapé, pour mieux relaxer mon esprit.

Promis je ne me coucherai plus, sans bien préparer mon écritoire. 

Ainsi tu pourras revenir me voir tous les soirs. N’est-ce pas mon amie ? 

Christophe R/Ecrivain77/Epistolier77





Le mensonge


LE MENSONGE.

A mon avantage, comme toujours, renverser la situation.

Mes paroles proférées sont fruits infertiles de véracité.

Faire appel à sa mémoire sans tomber dans la contradiction.

Prétendre à qui veut bien l’entendre, sans jamais s’être empêtré

dans des affabulations, tout en fuyant le puits de la névrose.

Ne pas vouloir regarder en face le juste retour des choses.

Le long du chemin bordé d’arbres, sous l’égide des branches arquées.

Le soleil ne perçant pas à travers les branches, éclaire pourtant

le renard qui vit en moi. Mon cœur s’ouvre à cette réalité.

Par forme de courage, je pense à ce chemin enveloppant.

La lassitude, me pousse à mieux scruter les feuilles irradiées.

Je ressens au plus profond de mon être, que je dois me dévoiler.

Sous le poids de la déraison. Je me pose sur une souche, tel

un rapace à la recherche de sa proie du haut de son rocher.

Quelle est cette spirale portant vers un idéal virtuel.

Je regarde la beauté des feuilles, malgré si peu de clarté pour les éclairer.

Par cette traversée arborée, mon cœur s’ouvre à ma naissance.

Ai-je créé désolation, où ne réside que l’arrogance ?

Christophe R/ Ecrivain77/Epistolier77