Vous rêvez d’avoir une vie modèle, une vie heureuse.
Vous voulez être l’employé du mois de l’année.
Vous voulez être le meilleur, un être extraordinaire.
Vous avez une passion, un rêve ?
Sachez que cela est possible. Mais à quel prix ?
Pour ça il va falloir accepter de souffrir, de galérer, d’être critiqué, d’être jugé.
Le bonheur existe, il vous faut tout simplement le découvrir.
Parlez-en avec les bonnes personnes.
Vous risquez de vous retrouver seul au fond de votre lit à vous demander si c’est bien, si cela en vaut la peine.
Sachez écouter votre MOI, votre cœur.
Faire des sacrifices ou des compromis ?
Votre rêve est à court terme ou à long terme ?
Il vous restera quoi après le court terme ?
Avez-vous l’endurance ?
Sachez que tout cela se travaille, se perfectionne.
Regardez-vous comme vous êtes et non comme les autres voudraient vous voir.
Ne perdez pas de temps à vous confronter avec des personnes qui ne comprennent ou n’acceptent pas votre passion ou votre rêve.
Soit parce qu’elles n’ont pas le courage ou la volonté de faire comme vous.
Restez vous-même, heureux, ou heureuse tout simplement.
Vous voulez faire de la poterie, mais votre travail vous accapare, commencez par savoir pourquoi vous aimeriez, ne sacrifiez pas votre famille, vos amis, cela vous rendra coupable par la suite inconsciemment.
Sortez, visitez, écoutez ceux qui ont su vivre de leur passion ou la réaliser en plus de leur travail.
Ne parlez de votre passion ou de votre rêve à une seule personne de confiance avant de vous lancer. Cette personne c’est vous, c’est votre MOI.
Tout être Humain a son jardin secret, et heureusement.
Dans ce monde où tout va vite, tout n’est que poudre aux yeux, les médias vous incitent à penser autrement, à voir selon leur vision.
Vous allez rencontrer des gourous : lire des livres positifs pour vous faire miroiter un bel avenir.
Je ne me répèterai jamais assez : « TOUT EST POSSIBLE », mais il y a un prix à payer. Êtes-vous sûr du tarif ?
Acceptez les épreuves pour vous améliorer, vous rendre nature.
La douleur ne sera plus que du positif pour vous aider à avancer, ce malaise du début deviendra de moins en moins pénible dès que vous l’accepterez, il deviendra votre ami.
Ne devenez pas masochiste en acceptant la souffrance sans rien faire pour vous améliorer.
Aidez les autres c’est aussi s’aider soi-même.
Si un jour on vous félicite sur votre tenue vestimentaire, dites simplement Merci avec un grand sourire, ne dites pas que vous l’avez acheté 3 francs 6 sous au marché aux puces.
Prenez le compliment pour recharger vos batteries.
Ne vous dévaluez pas aux yeux des autres, ne vous culpabilisez pas.
J’ai mis plus de 3 ans à créer le site sur lequel vous lisez, pourtant c’est mon métier. Je ne trouvais pas le bon site qui me corresponde, rien ne dit que dans une semaine il changera totalement.
Tout évolue dans la vie même vous.
J’ai lu des livres qui poussent à positiver à vous sentir mieux. Un seul parle vraiment de la douleur de se réaliser.
Ne restez pas enfermé entre quatre murs. Sortez, profitez de ce qui est gratuit dans la vie.
Regardez autour de vous. Ne vous laissez pas imposer une opinion par les médias, les autres.
Ne jugez pas trop vite les autres sans savoir les vrais faits.
Allez dans des conférences qui vous attirent même si elles ne sont pas en rapport avec votre passion. Cela fera travailler votre MOI, vous fera prendre du recul.
Je n’ai pas un gros salaire avec mon travail. Je travaille pour vivre, je fais partie des gens chanceux d’avoir un travail même s’il ne m’apporte rien intellectuellement.
Mais cela ne dure que 8 heures par jour et 5 jours par semaine.
Il me reste 16 heures par jour, les week-ends, les vacances, les jours fériés, pour faire vivre ma passion et la développer.
La retraite n’existe pas pour sa passion.
Vous verrez plus vous vous sentirez mieux et plus les bonnes personnes se rapprocheront de vous. Seulement si vous ne vous enfermez pas dans votre passion.
S’aimer soi même c’est aussi aimer les autres.
Si vous êtes ouvert au fait qu’il faut savoir analyser la souffrance pour être soi-même, vous avez déjà passé le plus dur.
Maintenant accepterez-vous de souffrir pour être vous-même, ou de souffrir longtemps pour essayer de ressembler aux autres ?
Que vous restera-t-il quand vous serez sans activité professionnelle, sans passion, des regrets ou des remords ?