Ce poème rend hommage au tatouage comme un art spirituel où l’âme inscrit ses histoires sur la peau, transformant l’éphémère en éternité. Il célèbre également le tatoueur, alchimiste des émotions, qui, dans son atelier sacré, relie le visible à l’invisible en sculptant des fragments de vie et d’identité. Une exploration poétique de l’encre, du corps et de l’âme en parfaite symbiose.
Le poème révèle un amour profond et inconditionnel, où les larmes de la femme traduisent sa douleur face à l’impuissance, mais aussi sa force et sa promesse d’accompagner l’autre, même dans l’obscurité.
Une femme, victime de violences, lutte sur deux fronts : le tribunal, où elle réclame justice, et chez elle, face à ses souvenirs et ses blessures intérieures. Tandis que le passé la hante, une lueur d’espoir grandit : la possibilité de se reconstruire et de créer un avenir libéré de ses chaînes.
Ce poème exprime la douleur d’un départ brutal, celui d’un chat bien-aimé, emporté par la mort sans avertissement ni adieu. Il évoque le choc du vide laissé derrière, la quête de sens face à cette perte et l’impuissance des mots face à l’irrévocable. Malgré l’absence, l’auteur trouve une consolation dans la persistance de l’essence et des souvenirs, qui transcendent la mort et maintiennent le lien vivant pour l’éternité.
Ce poème célèbre une femme aimée, source de lumière et d’inspiration. Elle éclaire les mots et guide le poète, inconsciente de son impact profond. Elle est la force silencieuse derrière chaque vers, la muse humble et essentielle, l’ancre et l’univers de l’auteur, rendant son amour lumineux et créateur.
Ce poème exprime une connexion avec une part profonde de l’âme, source de lumière et de sagesse, qui guide à travers les épreuves. Il reflète le désir de protéger cette essence pure, tout en reconnaissant en elle une vérité intemporelle et essentielle.
Dans « *Le Vide des Rimes, le Poids du Silence* », ma plume exprime sa détresse face à une panne créative. Autrefois fluide, elle devient lourde, et le silence, écrasant, remplace l’inspiration. En proie à une lutte intérieure, elle contemple le vide qui domine, tout en espérant que les mots reviendront un jour.