Ce poème exprime une profonde complicité entre l’auteur et une petite cuillère, symbole de réconfort et de confiance. Dans ses moments de vulnérabilité, la cuillère devient une confidente silencieuse, partageant rêves et tourments. Elle représente un refuge intime, où l’auteur trouve la force de se relever, jour après jour, à travers leur rituel partagé.
Soudainement mes yeux s’ouvrent, je ne sais pourquoi, me voilà réveillé.
L’esprit encore tout embrumé, les yeux floutés, je scrute l’horloge.
Le poème « Insomnie » décrit une nuit où le narrateur, éveillé à quatre heures du matin, lutte contre l’insomnie. Seul dans son appartement, il cherche son chat Hugo et se rend compte qu’il ne pourra plus dormir. Il saisit son carnet pour écrire ses pensées, tentant de fuir l’ennui. L’insomnie est personnifiée comme une présence dérangeante, perturbant son calme et sa journée. Finalement, il aspire à apaiser son esprit pour accueillir cette amie nocturne, transformant ses nuits blanches en moments créatifs.
Le poème « LE MENSONGE » explore la dualité entre la vérité et l’illusion. L’auteur évoque la tendance à manipuler les mots pour créer une image avantageuse, tout en fuyant la réalité et la névrose. À travers une métaphore de la nature, il confronte ses propres contradictions et ses mensonges intérieurs. Sur un chemin bordé d’arbres, il ressent le besoin de se dévoiler et d’affronter ses démons, cherchant un idéal virtuel. Enfin, il s’interroge sur l’arrogance de ses actions et sur la désolation qu’il a pu engendrer.
Le poème « 2021 » invite à célébrer le moment présent, mettant l’accent sur l’abondance et la richesse de l’instant plutôt que sur la santé, la prospérité ou l’amour. En vivant pleinement l’instant, on peut accueillir une nouvelle année remplie de bonheur et de promesses.
La philosophie permet d’analyser, de comprendre une action, une situation, tout en expliquant la cause et son contraire.
Philosopher permet d’expliquer et en même temps de dire le contraire.
J’écoutais pour écouter.
J’apprenais pour savoir.
Je lisais pour m’envoler.
Je travaillais par devoir.