Je me souviens de la pile Wonder

Dans ** »Je me souviens de la pile Wonder »**, ma plume évoque avec nostalgie une pile qui, durant l’enfance, insufflait vie aux jouets et créait des moments magiques. À travers ces aventures éphémères, elle se remémore la beauté de l’imagination transformant la réalité. Même lorsque la pile s’épuise et que les jouets s’immobilisent, l’étincelle de magie demeure. Le poème révèle que, même adulte, cette magie perdure grâce à la créativité et aux rêves, prouvant que l’enchantement réside en chacun.

Lutter contre l’ignorance de l’état

Ce poème dénonce l’ignorance imposée par les élites et la censure d’État. Il met en lumière la lutte pour la vérité, incarnée par ceux qui, armés de la plume, refusent de se soumettre aux manipulations et aux mensonges. Face à l’oppression, les chercheurs de vérité persistent, éduquant les esprits et éclairant les consciences. Le texte appelle à une résistance infatigable, où la connaissance et l’intégrité demeurent des piliers pour un avenir plus juste et transparent.

Une ode à la force intérieure.

Ce poème évoque la contemplation de la lune sous un ciel étoilé, incitant à réfléchir aux défis des personnes en situation de handicap. Malgré leurs luttes, leur courage et leur espoir demeurent immenses. Souvent mal compris, ces individus voient le monde différemment et découvrent la beauté là où d’autres ne la voient pas. Le handicap est présenté non comme une faiblesse, mais comme un symbole de résilience et de force. Ils nous enseignent la persévérance et l’importance de la force intérieure. L’auteur exprime sa gratitude pour ces âmes inspirantes et son fierté d’appartenir à une communauté qui valorise la diversité et l’inclusion.

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