Un jardin multicolore


Trois fleurs dansent au cœur d’un jardin,

Où couleurs éclatantes et parfums s’entremêlent,

Un véritable paradis floral, un éden divin,

Où la beauté des fleurs se révèle.

 

Les roses grimpantes dévoilent leurs épines,

Leurs pétales délicats s’ouvrent avec grâce,

Leur éclat enivrant, une caresse fine,

Dans ce jardin où règne une douce audace.

 

Les tulipes élégantes, altières et fières,

Se dressent avec majesté, en rangs serrés,

Leurs couleurs éclatantes illuminent l’atmosphère,

Dans ce tableau vivant où tout est harmonisé.

 

Les marguerites délicates, simples et pures,

Rayonnent d’une beauté humble et sincère,

Leurs pétales blancs, un éclat qui rassure,

Dans ce jardin où règne la douce lumière.

 

Les fleurs dansent en chœur, éclats de mystère.

Le soleil, bienveillant, caresse chaque pétale,

Et la brise légère chante une ritournelle,

Parmi les roses velours et les tulipes éclatantes.

 

Les couleurs s’entremêlent, un arc-en-ciel charmant,

Le parfum enivrant des fleurs dans l’air se répand,

Les oiseaux en harmonie esquissent leur ballet,

Leur chant mélodieux, une symphonie en majesté.

 

Les arbres majestueux étirent leurs bras en hauteur,

Leur ombrage protecteur offre un peu de fraîcheur.

Emportant nos soucis vers d’autres horizons ardents,

Les vents du changement soufflent librement, triomphants.

 

Et dans cette symphonie florale éternelle,

Les fleurs se rencontrent, s’épanouissent en chœur,

Dans ce jardin merveilleux, véritable merveille,

Où chaque fleur raconte une histoire de fleur.

 

Que le jardin soit une toile vivante,

Où les couleurs s’entremêlent avec ardeur,

Et que ces fleurs, dans leur beauté enivrante,

Nous emportent dans un monde de douceur.

 

Trois fleurs se rencontrent, un instant suspendu,

Dans ce magnifique jardin aux mille trésors,

Chaque pétale est un éclat de gratitude,

Pour la nature qui nous offre ses dons en or.

 

Christophe R / Ecrivain77





Tête à tête avec ma petite cuillère


Chère petite cuillère, gardienne de mes secrets,

Dans ta présence, je trouve un refuge discret,

Tu m’accompagnes dans mes heures sombres,

Me faisant oublier les ombres qui encombrent.

 

Dans la douce chaleur de ma tasse de thé,

Je plonge tes courbes délicates, enchanté,

Et tu agites les tourments de mon esprit,

Les dissolvant dans la boisson infusée de vie.

 

Au creux de tes reflets sur ton dos argenté,

Se mêlent mes rêves et mes pensées,

Tu deviens le confident de mon âme,

Écoutant mes murmures, mes larmes.

 

À chaque remous, tu sembles comprendre,

Le poids des mots que je n’ose répandre,

Tu m’offres un espace de confiance,

Où je peux être moi-même, sans méfiance.

Ma petite cuillère, symbole de complicité,

Je te confie mes espoirs, mes vérités,

Et dans cette danse silencieuse,

Tu me rappelles que chaque jour est une renaissance.

 

Merci, chère confidente,

De m’offrir sans peine, ton écoute,

Que notre lien perdure à l’infini,

Au rythme des tasses de thé, je te le dis.

 

Dans cette intimité partagée,

Ta présence m’inspire et me fortifie,

Avec toi, je peux être vulnérable et vrai,

La tête haute, prêt à affronter le monde, les défis.

 

Chère petite cuillère, à jamais gravée,

Dans le livre de mes souvenirs,

Je te remercie d’être là, à mes côtés,

Fidèle source d’éternité, et de plaisirs.

 

Avec toute ma gratitude et ma reconnaissance,

Je te chéris, ma précieuse petite cuillère, en silence,

Et que se prolongent nos échanges muets,

Dans l’éternité de nos secrets bien gardés.

Christophe R / Ecrivain77





Insomnie


Soudainement mes yeux s’ouvrent, je ne sais pourquoi, me voilà réveillé. L’esprit encore tout embrumé, les yeux floutés, je scrute l’horloge. 

Il est quatre heures du matin, le soleil dort, le chat n’est plus couché. Je me tourne, me retourne, pivote, virevolte, recherchant une position très douillette. Plus je tournille, moins je peux m’apaiser. 

La respiration, tout vient de la respiration, la contrôler. Facile à dire, moins évident, tous mes sens sont en éveil. Me concentrer malgré le larsen du silence dans mes oreilles.

J’ouvre grand mes oreilles, j’ouvre grand mes yeux, j’ouvre grand mes sens. Je cherche mon chat Hugo, il doit être là, il ne fait que de dormir. Ne le trouvant pas, j’allume ma lampe de chevet avec réticence. 

La lumière jaillissant, c’est officiel je ne pourrai me rendormir. Je prends mon carnet de notes, toujours à portée de main, pour crayonner mes inspirations furtives, laissant mon crayon sans contrôle glisser. 

Je suis comme dans une forêt, où tout est lumière de clarté. Je fume sans raison, si ce n’est de faire partir l’ennui en fumée.

Trop souvent, tu viens avant l’heure annuler mes rêves subitement. Tu nous fais fuir, tu nous chasses, le chat et moi de notre lit si douillet. 

Sans raison d’être si matinier, errant seul dans mon appartement. Une tasse de café à la main, je vais choir sur le canapé. 

Tout ce temps perdu après ta venue, à ne pouvoir commencer ma journée. N’as-tu personne d’autre plus jeune à qui infliger ta présence? Je vis tes jours au ralenti, je perds mon calme, tu hantes mes pensées. Ne reviens pas! Tu me prives de sommeil, je dois reprendre des forces.

Dormir, dormir, même quand tu ne viens pas, je ne peux mieux me ressourcer. 

Lorsque je me réveille, je me sens comme devant la page blanche. Je ne veux en souffrir. Je ne sais pourquoi il me faut rester éveillé. 

Je ne me sens pas seul, autour de moi se fait ressentir ta présence. La nuit, je ressens les communions, de toutes les ondes créatrices. 

Je ne dormirai plus sur le canapé pour mieux relaxer mon esprit. Promis je ne me coucherai plus sans bien préparer mon écritoire. 

Ainsi tu pourras revenir me voir tous les soirs. N’est-ce pas, mon amie?

Christophe R / Ecrivain77 / Epistolier77





Insomnie


Soudainement mes yeux s’ouvrent, je ne sais pourquoi, me voilà réveillé.

L’esprit encore tout embrumé, les yeux floutés, je scrute l’horloge.

Il est quatre heures du matin, le soleil dort, le chat n’est plus couché. 

Je me tourne, me retourne, pivote, virevolte, recherchant une

position très douillette. Plus je tournille, moins je ne peux m’apaiser. 

La respiration, tout vient de la respiration, de la contrôler. 

Facile à dire, moins évident, tous mes sens sont en éveil.

Me concentrer malgré le larsen du silence dans mes oreilles.

J’ouvre grand mes oreilles, j’ouvre en grand mes yeux, j’ouvre en grand mes sens.

Je cherche mon chat Hugo, il doit être là, il ne fait que de dormir.

Ne le trouvant pas, j’allume ma lampe de chevet, avec réticence.

La lumière jaillissant, c’est officiel je ne pourrai me rendormir.

Je prends mon carnet de note toujours à portée de main, pour crayonner

mes inspirations furtives. Laissant mon crayon sans contrôle glisser.

Je suis là, comme dans une forêt, où tout est lumière de clarté.

Je fume sans raison, si ce n’est de faire partir l’ennui en fumée.

Trop souvent, tu viens avant l’heure annuler mes rêves subitement.

Tu nous fais fuir, tu nous chasses, le chat et moi de notre lit si douillet. 

Sans raison d’être si matinier, errant seul dans mon appartement.

Une tasse de café à la main, je vais me choir sur le canapé.

Tout ce temps perdu après ta venue, ne pouvant commencer ma journée.

N’as-tu personne d’autre plus jeune, à qui infliger ta présence ?

Je vis tes jours au ralenti, je perds mon calme, tu hantes mes pensées. 

Ne reviens pas ! Tu me prives de sommeil, je dois reprendre des forces.

Dormir, dormir, même quand tu ne viens pas, je ne peux mieux me ressourcer.

Lorsque je me réveille, je me sens comme devant la page blanche.

Je ne veux en souffrir. Je ne sais pourquoi il me faut rester éveillé.

Je ne me sens pas seul, autour de moi se fait ressentir ta présence. 

La nuit je ressens les communions, de toutes les ondes créatrices.

Je ne dormirai plus sur le canapé, pour mieux relaxer mon esprit.

Promis je ne me coucherai plus, sans bien préparer mon écritoire. 

Ainsi tu pourras revenir me voir tous les soirs. N’est-ce pas mon amie ? 

Christophe R/Ecrivain77/Epistolier77





Passion Souffrance

Vous rêvez d’avoir une vie modèle, une vie heureuse. 

Vous voulez être l’employé du mois de l’année. 

Vous voulez être le meilleur, un être extraordinaire. 

Vous avez une passion, un rêve ?

Sachez que cela est possible. Mais à quel prix ? 

Pour ça il va falloir accepter de souffrir, de galérer, d’être critiqué, d’être jugé. 

Le bonheur existe, il vous faut tout simplement le découvrir. 

Parlez-en avec les bonnes personnes.

Vous risquez de vous retrouver seul au fond de votre lit à vous demander si c’est bien, si cela en vaut la peine. 

Sachez écouter votre MOI, votre cœur. 

Faire des sacrifices ou des compromis ? 

Votre rêve est à court terme ou à long terme ? 

Il vous restera quoi après le court terme ? 

Avez-vous l’endurance ?  

Sachez que tout cela se travaille, se perfectionne.

Regardez-vous comme vous êtes et non comme les autres voudraient vous voir. 

Ne perdez pas de temps à vous confronter avec des personnes qui ne comprennent ou n’acceptent pas votre passion ou votre rêve. 

Soit parce qu’elles n’ont pas le courage ou la volonté de faire comme vous. 

Restez vous-même, heureux, ou heureuse tout simplement. 

Vous voulez faire de la poterie, mais votre travail vous accapare, commencez par savoir pourquoi vous aimeriez, ne sacrifiez pas votre famille, vos amis, cela vous rendra coupable par la suite inconsciemment. 

Sortez, visitez, écoutez ceux qui ont su vivre de leur passion ou la réaliser en plus de leur travail. 

Ne parlez de votre passion ou de votre rêve à une seule personne de confiance avant de vous lancer. Cette personne c’est vous, c’est votre MOI. 

Tout être Humain a son jardin secret, et heureusement. 

Dans ce monde où tout va vite, tout n’est que poudre aux yeux, les médias vous incitent à penser autrement, à voir selon leur vision. 

Vous allez rencontrer des gourous : lire des livres positifs pour vous faire miroiter un bel avenir. 

Je ne me répèterai jamais assez : « TOUT EST POSSIBLE », mais il y a un prix à payer. Êtes-vous sûr du tarif ? 

Acceptez les épreuves pour vous améliorer, vous rendre nature. 

La douleur ne sera plus que du positif pour vous aider à avancer, ce malaise du début deviendra de moins en moins pénible dès que vous l’accepterez, il deviendra votre ami.

Ne devenez pas masochiste en acceptant la souffrance sans rien faire pour vous améliorer.

Aidez les autres c’est aussi s’aider soi-même. 

Si un jour on vous félicite sur votre tenue vestimentaire, dites simplement Merci avec un grand sourire, ne dites pas que vous l’avez acheté 3 francs 6 sous au marché aux puces. 

Prenez le compliment pour recharger vos batteries. 

Ne vous dévaluez pas aux yeux des autres, ne vous culpabilisez pas. 

J’ai mis plus de 3 ans à créer le site sur lequel vous lisez, pourtant c’est mon métier. Je ne trouvais pas le bon site qui me corresponde, rien ne dit que dans une semaine il changera totalement. 

Tout évolue dans la vie même vous.

J’ai lu des livres qui poussent à positiver à vous sentir mieux. Un seul parle vraiment de la douleur de se réaliser. 

Ne restez pas enfermé entre quatre murs. Sortez, profitez de ce qui est gratuit dans la vie.

Regardez autour de vous. Ne vous laissez pas imposer une opinion par les médias, les autres.

Ne jugez pas trop vite les autres sans savoir les vrais faits.

Allez dans des conférences qui vous attirent même si elles ne sont pas en rapport avec votre passion. Cela fera travailler votre MOI, vous fera prendre du recul.

Je n’ai pas un gros salaire avec mon travail. Je travaille pour vivre, je fais partie des gens chanceux d’avoir un travail même s’il ne m’apporte rien intellectuellement.

Mais cela ne dure que 8 heures par jour et 5 jours par semaine.

Il me reste 16 heures par jour, les week-ends, les vacances, les jours fériés, pour faire vivre ma passion et la développer.

La retraite n’existe pas pour sa passion.

Vous verrez plus vous vous sentirez mieux et plus les bonnes personnes se rapprocheront de vous. Seulement si vous ne vous enfermez pas dans votre passion.

S’aimer soi même c’est aussi aimer les autres.

Si vous êtes ouvert au fait qu’il faut savoir analyser la souffrance pour être soi-même, vous avez déjà passé le plus dur. 

Maintenant accepterez-vous de souffrir pour être vous-même, ou de souffrir longtemps pour essayer de ressembler aux autres ? 

Que vous restera-t-il quand vous serez sans activité professionnelle, sans passion, des regrets ou des remords ?