La voix du silence
Dans l’ombre d’une vie volée, une étoile s’est levée,
Frappée, meurtrie, souillée, mais jamais terrassée,
Elle, mère, épouse, femme au foyer,
Dans ses yeux le reflet d’un combat, acculé.
Dans l’ombre d’une vie volée, une étoile s’est levée,
Frappée, meurtrie, souillée, mais jamais terrassée,
Elle, mère, épouse, femme au foyer,
Dans ses yeux le reflet d’un combat, acculé.
Dans son nid de douceur, le chat s’est blotti,
Enveloppé de rêves, dans son couffin, il médite.
Son oeil mi-clos, guettant avec la lune pour guide,
Il surveille son humain, tel un bijou.
Noël, c’est comme un coffre aux trésors géant,
Plein de surprises et de jeux, c’est vraiment amusant.
Partout des lumières qui clignotent, ça brille fort,
On dirait des étoiles qui sont descendues pour faire un décor.
Un professeur, l’âme sincère,
Enseignait les mots, les vers, les rimes,
La littérature, un trésor sans limites,
Il parlait du monde, de l’amour, de la vie.
À travers les pages, il les guidait.
« Il n’y a pas de question bête », disait-il avec un sourire,
Chaque interrogation est un désir de s’épanouir. Un professeur, l’âme sincère,
Enseignait les mots, les vers, les rimes,
La littérature, un trésor sans limites,
Il parlait du monde, de l’amour, de la vie.
À travers les pages, il les guidait.
« Il n’y a pas de question bête », disait-il avec un sourire,
Chaque interrogation est un désir de s’épanouir.
Dans cette chambre d’hôpital, du haut de mes quinze ans,
Mon destin en main, courageux et solitaire,
Dans mon cœur, brûle un feu ardent,
Vibre une force intérieure, extraordinaire.